Merlin and Mordred
       

       Le soleil était haut dans le ciel, il n'était pas loins de midi problement quand Mordred sortit du sous bois. Sa longue cape s'agitait légèrement sous le vent frais ébourrifant ses cheveux brun.  Le jeune Druide vérifiait en permanence qu'il n'avait pas perdue la précieuse sacoche qu'il avait accrocher à sa ceinture quelques heures plus tôt. Par chance elle était encore là. Le sentier qu'il empruntait désormais n'était que rarement fréquenter. Il déboulait à l'entrée d'une petite grotte que seul les pratiquants de l'ancienne religion connaissait. Rajustant sa cape le garçonet regarda légèrement par deçu son épaule. Il avait la nette impression que quelqu'un l'épiais non loins de là. Pourtant il ne ressentait rien de plus que le vent sur sa peau et la chaleur du soleil d'un début d'été. Rien d'autre donc. Mais pourtant le jeune druide accéléra le pas, sa cape s'emmela un instant sur une vieille racine camoufler par les feuilles fraichement tomber et glissa le long d'une pente raide. Pendant sa chute, la saccoche si précieuse au jeune druide se détacha est disparut dans un talu de feuille morte. Un léger sifflement magique se dissipa dans les alentours, obligeant Mordred à se boucher les oreilles. Le son ne semblait vouloir se taire obligeant ainsi le jeune Druide à fouiller tant bien que mal à la recherche de sa bourse. La mission semblait fichu. Qu'allait-il dire a Morgause ? Non il ne pouvait pas revenir bredouille au campement. Il fallait qu'il la trouve. Il ne fallait surtout pas qu'elle tombe dans d'autres mains. Après tout cette pierre avait une énorme valeur entre les mains d'un sorcier. Perdu dans ses pensées Mordred fini par trouvée la pierre d'un bleu azur . Remettant ce précieux objet bien à sa place. Se remettant sur pied, Mordred continua sa course quand brusquement il heurta quelques chose – ou plutôt quelqu'un – Son regard vert s'arrêta pour contempler la personne en question. Merlin …  La peur s'empara petit à petit de Mordred.  Le jeune Druide n'avait pas la conscience tranquile. Il ne fallait pas que la pierre tombe entre ses mains surtout pas … Mais a présent il était trop tard pour faire demi tour. Le jeune magicien l'avait reconnut et bientôt il demanderait quel bon vent l'avait entrainer dans des contrés si reculer.  Plongeant son regard dans celui du Magicien, Mordred ouvrit son esprit pour entrée en contact avec le siens et murmura tel le souffle du vent : «  Bonjour Emrys ...cela faisait longtemps. » Il ne c'était jamais sentit en confiance avec le jeune magicien . Mais après tout n'était-il pas seul en ce moment même ? Mordred se sentait un peut plus rassurer mais évité toutefois de le montré.