Sujet: « The song of wolf » PV Richard [Terminé] Sam 20 Oct - 1:45
Ondulant dans le vent, les branches nues des arbres semblaient pareilles à de vieilles carnes sans vie. Une couverture de neige recouvrait le sol de la campagne environnante. La clarté du jour terni par le voile nuageux faisait perdre aux flocons fraîchement tombés leurs reflets de diamants. Le silence hivernale était troublé par les rumeurs de la cité de Camelot. Des bruits de fer frappant l'enclume résonnaient tandis que les rues et ruelles étaient envahis par les badauds et les commerçants. De la fumée s'échappait des cheminées, s'élevant dans le ciel pour s'y perdre. La ville basse s'était éveillée au chant du coq depuis quelques heures déjà. La citadelle était encore paisible, à demi endormi par le froid mordant.
Au loin, un hennissement déchira la paix de la foret. Des corneilles s'envolèrent des arbres. Une nuée d'autres oiseaux les imitèrent alors. Les cris des volatiles mirent en alerte les soldats postés à l'entrée de la ville passe, inquiétés par l'envolé d'un nuage de plumes dans le lointain. Devaient-ils craindre l'attaque d'une créature magique si monstrueuse que même les animaux les moins malin en venaient à fuir? C'est alors que surgirent trois chevaux à la lisère des bois. Ils bondissaient ensemble au dessus de la neige, aussi allègrement que des cabris dans une prairie. La neige volait autour d'eux, valsant un instant dans les airs avant de retomber lourdement autour des montures. C'était comme une profonde entaille givré qui se dessinait dans la poudreuse. A cette vision, les hommes curent voir une meute de loups jappant et grognant contre le monde entière. A leur tête, une louve à la crinière noire brandissant une lance à la lame curieuse et dangereuse. Les montures rejoignirent la route principale menant à la cité. Le tocsin retenti, le son de la cloche recouvrant les rumeurs de la ville et s'étendant aux alentours. La herse fut descendu pour clore l'accès à la ville basse. Des soldats couraient sur les remparts pour prendre leurs postent et organiser les défenses.
Le fracas des fers sur le chemin verglacé faisait trembler l'air et les hommes. Les trois chevaux avaient disparu et pourtant leur présence se faisait un peu plus sentir à chaque instant. Comme la rumeur des tambours de guerre, sourd et terrifiant à la fois. Un nouveau hennissement en fit sursauté quelques un. Soudain ils surgirent au détour du virage, sans ralentir. Ils n'étaient plus qu'à une centaine de mètre de l'entrée de la ville basse. Une légère fumée blanche s'échappait des naseaux des destriers, comme un souffle puissant qui les liait pour ne faire qu'un dans un effort commun. La cavalière de tête regardait fixement droit devant elle, donnant l'horrible impression que la herse allait disparaître à son passage. Sa monture sembla pourtant perdre de la vitesse. L'animal à la robe blanche piaffa avant de faire un tour sur lui même et s’arrêter devant cette herse encore close. Un soldat vint au devant d'eux, toujours abrité par les défenses de la porte. Il dévisagea alors l'inconnue. Lance au poing, c’était une femme à la longue chevelure noire et ondulée. Ses yeux cernés d’un maquillage de cendre noire rendaient la peau de son visage aussi blanche que la neige. Ses épaules étaient recouvertes d’une peau de loup gris, lui donnant une allure inquiétante. Ses vêtements de cuire étaient renforcés par endroit tandis qu’une épaisse ceinture soulignait sa silhouette agile et élancée. Une cape sombre en toile grossière lui tombait sur le dos, cachant la croupe de son cheval. C'est alors qu'elle sorti une lettre pour la tendre à l'homme.
Dans un grincement métallique, la herse se releva avec lenteur. Une expression farouche se dégageait du visage des deux hommes qui escortaient la jeune femme. Vêtus d’une façon similaire, ils portaient des plaques d’armures d’un autre âge. Épée à la ceinture, peau de bête sur le dos, ils étaient semblables à deux ours. Les épaules larges, ils avaient la carrures des guerriers légendaires, ceux qui étaient appelés Pictes par les gens du Sud. Les chevaux passèrent la grande porte, se retrouvant dans la rue principale qui montait vers le château. Les animaux semblaient toiser les passants du regard, tandis que leurs cavaliers n'avaient pas plus de considération pour la populace que s'il avait d'agit de troncs d'arbres à abattre. Les gens ne pouvaient détacher leur regard au passage de ces curieux personnages. Ils n'étaient pas d'ici. Étaient-ce ceux dont parlaient les légendes et qui avaient vaincu les plus grands ennemis d'Albion en des temps sombres et sanglants? Ils avaient l'air aussi sympathique que la lames d'un poignard. A mesure qu'ils avançaient dans la rue, les bruits d'une forge se firent plus présent, jusqu'à arriver à l'endroit où l'on battait le fer encore chaud. La cavalière tourna alors la tête pour observer qui réussissait à surplomber la rumeur de la rue par le chant du métal. Son regard sombre balayait toute la rue sur sa gauche et fit arrêter sa monture pour observer. Avaient ils des forgerons digne de ce nom dans le Sud? La picte en était bien curieuse même si son air prédateur gagnait sur son apparence. C'était comme rencontrer un loup au milieu de nul part quand le froid vous déchirait la chair et que la vie commençait à battre de l'aile. On se sentait ridicule, s'accrochant comme on le pouvait à des vieux haillons. C'est là qu'elle vit un jeune homme d'une vingtaine d'année qui tapait avec rythme et énergie pour dessiner les courbes d'un outil de fer. L'inconnue croisa son regard sans plus éprouver quoi que ce soit. Il n'y avait en elle que sauvagerie et force guerrière d'une autre culture.
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Sujet: Re: « The song of wolf » PV Richard [Terminé] Dim 21 Oct - 18:19
The song of Wolf
feat Aaran & Richard
La fraicheur c'était abattu sur la cité de Camelot depuis quelques temps déjà. Il avait fait froid la nuit dernière et il n'était pas rare d'avoir a remettre du bois dans le feu plusieurs fois afin de remettre un foyer a température ambiante. Le vent soufflait encore au dehors alors que le petit jour était a peine levé sur la cité. Une fois que le soleil aurait pointé le bout de son nez cela ne serait qu'un mauvais souvenir. Le champs du coq avait résonner dans le lointain et déjà les rues étaient pleine de monde. Pourtant la petite maison en bois était encore bien calme. Il n'y avait personne qui faisait le moindre bruit. On aurait put la croire … déserte. C'était loin d'être le cas. La nuit avait été agiter pour le jeune homme qui se réveillait alors. Une petite soirée a la taverne est le voilà dans de beau draps. Mais Richard était quelqu'un de solidement constitué. Il n'allait pas ce laissez avoir par l’excellent hydromel qu'on y servait. Le jeune homme sauta du lit puis s'habilla en hâte comme a son habitude puis, il réchauffa un peut de soupe de la veille avant d'aller a sa seconde maison sa forge. Le jeune homme avait repris les affaires familiale depuis peut et s'y tenait. Il avait une réputation a tenir surtout quand on voyait de temps a autres nombreux chevalier servant le roi venir quémander un service. Richard était avant tout connu a la cité pour sa qualités et sa rapidité a manier le fer. Lui même ne savait expliquer d’où lui venait cet art si minutieux qui pourtant était bien enfouit au plus profond de lui.
Pas encore totalement frais et disponible, le jeune homme ramona son four afin de le faire repartir a bon point afin qu'il puisse rapidement ce mettre au travail. Cela prit un peut plus de temps que prévu suite au froid précoce qui c'était installé depuis peut. Une fois que le feu pris, Richard récupéra son enclume ainsi que son marteau pour s'installer au dehors afin de travailler les quelques demandes de la veille encore fraiche. Le froid mordant la peau du jeune homme il s'emmitoufla dans sa cape mais savait que sa ne durerait qu'un temps avant de sentir la chaleur de l’habitacle en question. Le jeune homme était parfaitement concentré dans son travail désormais . Faisant des va et bien habituel entre la forge et l'extérieur il était comme ainsi dire programmé. Ses mouvements était parfaitement coordonné. Il était comme dans sa bulle. Sans ce soucier du reste du monde Richard effectuait ainsi les commandes qu'il avait en cours . Quand soudain... Quelques chose venait de perturber la ville basse. Les enfants courant dans les ruelles annonçant la venu de cavalier ou du moins ce que put entendre dire le jeune homme. Pourtant cela ne le perturba pas plus que ça. Le jeune homme savait que Camelot était une cité assez fréquenter et que pas mal de personne venait alors voir le roi. Les sabots des chevaux continuait de résonner sur les pavés de la ruelle. Visiblement Richard avait eut raison. Les individus remontait bien la rue pour ce rendre au château. Au lointain pourtant quelque chose ou quelqu'un semblait l'observer.
Richard redressait alors la tête sans dire un mot. Observant a son tour lui aussi les nouveaux arrivant sans plus que cela. Puis il porta son regard aux montures des cavaliers en question. Son oreille avait bien perçut car une des bêtes en questions avait perdu un fer. Le jeune homme déposait alors son matériel sur la simple souche de bois qu'il utiliser pour taper lorsqu'il ne travaillait pas en intérieur puis alla a la rencontre des invités du roi probablement. La femme semblait avoir fait une longue expédition jusqu'à Camelot . Pour quelle raison ? Cela ne le regardait pas après tout. Tout ce qui était intéressant dans cette affaire pour le jeune homme c'était d'aider c'est nouveau arrivant a réparé le fer de leur monture. Surtout si c'était la dans l'urgence. Le jeune forgeron constata aussi que la femme devait être leurs chef car les deux autres étaient beaucoup plus reculer du cortège qu'elle est semblait effectivement l’escorter. Richard prit donc soins de s'adresser alors a la femme en premier : « - Souhaitez vous que je m'occupe de vos montures l'une d'entres elles semble avoir besoin d'être ferrer ? ». Le jeune homme ignorait si les individus en question comprenait sa langue mais son métier faisait qu'il devait s’accommoder a beaucoup de choses et d’événements qui parfois était … pour le moins surprenant. Richard attendait donc parfaitement droit et immobile que la femme refuse ou accepte son offre. Sinon la vie a la forge reprendrait son cours comme si rien ne c'était passé.
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Sujet: Re: « The song of wolf » PV Richard [Terminé] Jeu 1 Nov - 21:10
Rodant pareil à une ombre dans la nuit, il était là, bien présent. Il se mouvait tel un serpent, attendant le moment où ses yeux brillerait dans les ténèbres pour terrifier tout ceux qui le verraient. Pour l'heure il était encore enfermé dans les tréfonds de l'esprit de la picte. Le loup grondait fort aux oreilles de la guerrière mais elle restait aussi froide que du fer gelé. Pourtant tout en elle n'était que lave en fusion. Et elle regardait le forgeron avec un regarde tueuse. Un geste et il se retrouverait avec la lame de sa lance enfoncée dans la gorge, se vidant de son sans sur la neige immaculée. Non la pisteuse ne le ferait pas, du moins pas aujourd'hui. Rien qu'à le regarder, il l'agaçait déjà. Car lisant plus loin que sur un visage, elle savait qu'il risquait d’être un personnage agaçant et touche à tout. Il venait déjà de prouver en proposant de remettre un fer à l'un de leur chevaux. Sombre idiot, pensait il s'adresser à de simples voyageurs de passages? Peu importait, aucune des trois montures n'avaient besoin d’être ferré. Une perte de temps ridicule en somme. Buste droit, regard acéré et faciès arrogant, la jeune femme talonna son cheval pour le faire repartir. Une minute de plus et l'envie de meurtre risquait de s'abattre sur le forgeron. Il serait tellement dommage de priver Camelot de l'un de ses artisans...
Sans attendre et surtout sans répondre. La picte reparti en direction du château dans plus regarder autour d'elle. Les gens semblaient avoir pris peur en voyant sa façon de se tenir. Ils commençaient à se demander comment on avait pu laisser entrer des gens pareil dans la cité. Cependant, le sang n'avait pas encore coulé et l'on ne pouvait rien dire d'eux. A part peut-être que le Roi Uther était bien moins terrible même dans sa pire colère. Les sabots continuaient de battre le pavé gelé de la rue principale. La picte regardait droit devant elle, rien ne semblait pouvoir la surprendre ou l'impressionner. Les deux hommes avec elle restaient aussi impassible que deux statues de granite. Le vent froid venait de nouveau s'abattre sur la ville basse, mordant tout ceux qui avaient la peau fragile et tendre. Les pictes ne tremblaient pas, aucun frisson ne venaient faire l'état de leur corps. Rien ne pouvaient les atteindre. Ni le froid, ni la mort, ni les mots.
Les trois montures passèrent sur le pont du château avant de se retrouver dans la cour. Le temps sembla se suspendre à leur arrivée. Les personnes qui se trouvaient là se figèrent, observant les nouveaux arrivants avec un mélange de peur et de surprise mêlée. Ils étaient enfin arrivé au terme de leur voyage. La créature balaya le lieu de son regard sombre. Voilà à quoi ressemblait la demeure du roi? Un simple cailloux tailler d'une façon bien fragile, les catapulte et les projectiles auraient rapidement raison de l'architecture du lieu. Elle imaginait déjà le décor en cas d'attaque, une panique sans nom et des débris qui voleraient dans tous les sens. Avaient ils eu sincèrement raison de se rendre ici pour parler diplomatie et politique d'alliance? Le sens du jugement de la louve ne la trompait jamais même si elle pouvait se trouver être un peu agressive. Elle fini par se décider à descendre de cheval car déjà un chevalier marchait vers elle pour l'accueillir. Il demanda alors qui ils étaient. Le regardant fixement dans les yeux, la guerrière lui répondit alors avec un fort accent du nord « Aaran, Princesse de Calédonie. » Une sueur froide sembla envahir l'homme dans tout son être. Néanmoins il les invita à entrer à l'intérieur pour rencontrer le roi. La jeune femme s'engouffra à la suite du chevalier.
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Sujet: Re: « The song of wolf » PV Richard [Terminé] Jeu 27 Déc - 3:43
«Dans la nuit faiblement éclairer par la lune une ombre ce mouvait avec grâce. Tel un fantôme annonçant un sombre présage... Un présage de mort.»
feat. Aaran & Richard
Camelot n'était pas une citée bien tranquile. Souvent d'étrange personnages parvenait a s'introduire dans la citée. Richard en avait vu passé des personnes toute les plus marginales les unes que les autres. Est le jeune homme savait que la méfiance serait au rendez vous. Pourtant cette fois ci alors que la journée avait bien commancer pour lui, le jeune forgerons sentait la curiosité le prendre au dépourvu suite a l'arrivée de cette femme au visage aussi pâle que la neige elle même. Aussi froide que la mort, est aussi solide qu'un Lion. Qui était-elle, d'ou pouvait-êlle bien venir. Son regard était captivant. Richard avait a peine pu le soutenir quelques instant tant ce dernier incité le respect. Parfois certaine personnes possédé ce magnétisme unique qui, d'un simple regard vous cloue sur place ou vous remette a votre place sans rien dire. C'est personnes la était souvent de noble assendance avant ton appris au jeune homme est inutile de contesté a quoi que ce soit. Pourtant le forgerons avait réussi a essayer de déchifrer quelques chose dans le regard de cette louve venu du froid. Quelques chose qui un instant l'avait terrifié mais qui avait aussi éveillé en lui une curiositée qui n'était pas prêt de faire taire non plus . Oh cela allait lui causé des ennuits c'était certains, mais la conscience de Richard était bien ailleurs a ce moment précis. C'était comme ci la picte lui avait déclancher une sorte de maladie incurable d'un syndrome nomé Curiositée.
Tel un fantome la jeune femme repartit aussitôt longeant l'allée menant vers le château d'Uther. Décidement le roi était a lui seul un drole de personnages pour recevoir ainsi ses personnes venu du nord. Car a voir leurs habits en chaude fourrure il était évident qu'ils ne venaient pas du sud. Le martelement des sabots résonait encore quand Richard repris un temps soit peut ses esprits. Reposant ses outils sur la table de pierre a coté de lui le jeune homme secoua un instant la tête comme pour chasser un mauvais rêve. Comme ci, les fantomes du passé avait a nouveaux refait surface. Provenant d'un temps de guerre lointain. Bien sur Richard ne croyait pas vraiment en ce genre d'histoire. Les revenants lui faisait assez peurs est de toute façon cette femme etait de sang et de cher tout comme lui. Cela ne faisait pas de doute. Pourtant, le jeune homme avait ressentit dans le regard de la guerrière quelques chose de puissant . Non pas de la magie mais une force semblable a celui qu'émanait un Roi a lui seul. Une force unique. Alors la venu de cette femme changerait certainement Camelot. Peut être pas dans l'imédiat mais dans un avenir proche. Cette femme a la fourrure épaisse n'était pas n'importe qui c'était certains. Dans un geste souple est discret Richard sortit alors de sa forge pour ce changer les idées. Il avait cette femme dans la tête. Elle lui collait au corps comme un sentiement de déjà vu. Mais pourtant ou aurais t-il put la voir alors qu'elle venait juste d'arrivé pour la première fois a Camelot ? Décident qu'il devait avoir les idées bien fraiche pour réfléchir a qui pouvait bien etre cette femme, Richard opta pour faire un tour a la taverne afin de boire un vin chaud histoire de ce réchauffer un peut le corps. Quand soudain.... La voix de la femme ce fit enttendre. Richard tressaillit, il n'avait jamais enttendu une telle voix. Une voix aussi froide que la mort. Une voix a vous glacé la moêlle mais pourtant c'était une voix peut ordinaire que l'on souhaitait encore et encore écouté tel une muse chantant sous les rochers un soir de pleine lune. Cette voix avait alors déclinée son identitée certainement a l'un des gardes du château. Le jeune homme su alors que sa première impression était la bonne. La jeune femme en question était bien de noble naissance puisqu'elle c'était présenté sous le nom de Aaran princesse de Calédonie. Pris de peur Richard s'en détournait alors. Jugeant bon qu'il serait préférable de rentré chez lui afin d'informer les siens que des Pictes ce tenait alors a Camelot est qu'il valait mieux agir dans la plus grande courtoisie afin de ne pas voir sa tête joncher quelques seconde plus tard a même le sol. C'était ce que disait les légendes des anciens concernant ce peuple de guerriers. Mais chacun sait que toute légendes est inspirée d'une part de véritée. Alors autant ne pas s'attiré les ennuits afin d'évité toute forme d'accident. C'est ce que Richard tenterais de faire pour protéger les siens ...
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Sujet: Re: « The song of wolf » PV Richard [Terminé]